Que personne ne me retire les rides de mon front,
obtenues à travers l’étonnement face à la beauté de la vie ;
ou celles de ma bouche,
qui montrent combien j’ai ri et combien j’ai embrassé ;
ni les cernes de mes yeux :
en elles se trouvent le souvenir de combien j’ai pleuré.
Elles sont à moi et elles sont belles.
MbTc